L'entraînement précède le repos... Comme toujours! (Pv)

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Ce matin je m’étais levé dès l’aube, j’avais profité de mes nouveaux quartiers pour passer enfin une nuit agréable, ou je me sentais réellement chez moi. Mon sommeil fut donc long et profond, car j’avais enfin un endroit à moi ou je pouvais dormir, manger, ou tout simplement me reposer sans me faire déranger. Se qui était très différend de mon ancienne vie ou je dormais ou je le pouvais. Je suis donc allé manger un vrai petit déjeuner, que je ne du pas payer ni préparer! Non car à peine arriver dans la cuisine, un petit démon me tendit une assiette pleine à craquer, que je mangeai à moitié d’ailleurs. J’aimais bien ce mode de vie, cela ressemblait un petit peu à l’armée, car chaque jour c’était entraînement, mission et entraînement, mais j’aimais bien cela. Bon, certes les règles étaient stricte, nous devions bien rester à découvert et oui je devais et devrait faire des actions ne me ressemblant pas, mais il fallait faire des sacrifices pour obtenir des bénéfices dans la vie non?

Après ce petit réveille des plus relaxant, j’allais prendre un bon bain, je m’étais ma tenu d’entraînement habituel et me couchait sur le dos sur mon lit. Aujourd’hui j’étais en congé pour la première fois car j’avais remplie ma mission plus tôt que prévu et je ne savais pas réellement quoi faire de ma journée. Dormir? Non j’avais assez dormit... Aller m’amuser dans un bar? Ce n’était pas une bonne idée d’avoir la tête à l’envers demain vue l’entraînement qui m’attendrait probablement... Aller tenter de ré affronter la poupée avec ces grosses aiguilles ne me disait rien qui vaille non plus. Pourquoi ne pas aller me promener, ou même tester les limites de mon corps pourrait être intéressant. Je le faisais souvent, mais pas dans des conditions extrêmes, alors aujourd’hui je comptais bien me rendre la tâche des plus difficiles!

J’ai alors prit un gros côte bien chaud et douillet puis je suis allez avertir Tyler de notre destination, les montagnes dans les hauteurs bien glacé. 45 minutes à dos de dragon à suffit pour arriver sur les lieux.

L’entraînement fut rude. Vue la température et la tempête, j’ai décidé de plutôt m’entraîner avec Tyler, en pratiquant nos cascades et nos techniques de combat aérienne avec les rafales de vent qui ne cessait de déstabiliser mon équilibre. Sans mes bras transparent qui me retenait à Tyler, j’aurais probablement chuté une bonne vingtaine de fois! À la vitesse que nous allions, c’était déjà difficile de ne pas succomber au froid, mais tout à coup la neige se changea en petit glaçon, je peux vous dire que c’était très douloureux pour le visage. Notre champ de vision était nettement réduit, faisant apparaître des gros rochers toujours au dernier instant pour les esquiver. Mais jambes avait de la difficulté à me retenir sur la selle, mes bras transparent couvrait mon visage de la glace, mais Tyler quant à lui avait les ailes qui faiblissait de minute en minute… Nous arrêtâmes l’expérience car cela ne pouvait être considéré que d’une seule façon, du suicide.

Après mur réflexion, nous nous sommes finalement rendu dans le désert, un lieu aride ou tout effort physique semble doublement plus difficile du à la chaleur et au sable qui ralentit nos mouvement. Tyler m’a laissé à l’entré de celui-ci, a apporter l’équipement inutile que j’avais sur moi, tel que mon linge chaud et ma dit qu’il allait revenir me chercher d’ici 4 heures, j’avais donc assez de temps pour m’entraîner et profiter du soleil en pleine solitude. Voilà comment commença mon véritable entraînement, par 20% de vitesse, 30% de volonté et 50% de souffrance. Car oui, la course pour moi est une chose facile, j’ai un excellent cardiaux et je suis très légère. Mais dans ce désert, mes muscles me demandaient le double de l’effort donné habituellement, mes poumons demandaient plus d’air, mais l’air était tellement chaude qu’elle me faisait mal à respirer, ensuite la salive, je n’arrivais plus à en trouver. Après je dirais une bonne demi heure à courir à 30km/h, je me sentais aussi épuisé que si j’aurais couru dans une ville normal durant 1 heure. Mais voulant tester mon corps et voyant de mes yeux d’elfe une oasis très loin devant moi, je me suis dirigé dans cette direction en augmentant la cadence à 40km/h. Cela faisait 10 minutes que je courais lorsque je sentis comme une vague d’adrénaline en moi malgré mes jambes qui semblaient pouvoir d’effondrer d’un moment à l’autre. L’eau semblait des plus appétissante alors j’ai terminé ce petit entraînement en beauté avec un sprint durant un petit 2 minutes à 50km/h.

Arrivé dans l’oasis, je suis tombé sur les fesses de fatigue puis je me suis dépêcher de regarder si l’eau était potable, bon… Elle était buvable, mais sans la faire bouillir disons que je n’en boirais pas une grande quantité. J’en ai bus une petite quantité et sentant les vagues de chaleurs sortir de mon être et la sueur sur mes bras, alors que je croyais cela impossible, je décidais de réduire ma chaleur corporelle avec une petite baignade. Une minute suffit pour que tous mes vêtements soient accrochés sur la branche d’un arbre, avec mes armes et tout mon équipement. Ensuite se fut le moment de jouissance, je trempais tout mon corps brulant et en sueur dans l’eau fraîche, bon, elle aurait pu être plus froide, mais je n’allais certainement pas m’en plaindre.

Je suis sorti de l’eau quinze minutes après, voulant bronzer un peu ma peau si pâle. J’ai donc remis au moins mes sous-vêtements avant de m’étendre sur ma cape pour ne pas me brûler sur le sable si chaud. C’est ainsi que mon moment de relaxation commença, par une bonne baignade et une petite sieste au soleil.

Invité

Je me réveillai une fois de plus très tôt ce matin, un peu avant le lever du soleil. Comme d'habitude j'allais me mettre au travail et m'entraîner jusqu'au lever du soleil pour ensuite continuer ma journée. Cependant, ce matin je me suis réveillé avec l'envie de faire les choses d'une façon différente. D'un bon angle, il est possible de voir au loin de grandes montagnes enneiger et je me suis dit que pour le bon vieux temps, je pourrais y aller pour ma séance d'entraînement. Avant de partir bien évidemment, j'ai pris le temps de déguster un bon petit déjeuner. Je ne m'étais pas encore habitué aux sortes de nourriture qu'offrait ces lieux, mais je dois l'admettre qu'ils étaient très délicieux. Je me suis nourri comme un porc pour bien faire le plein de bouffe pour le voyage et j'ai aussi préparé des provisions que j'ai placées dans un sac à dos, car on ne sait jamais ce qui pourrait bien arriver dans des montagnes aussi hautes.

Mais bien sûr une personne normale pourrait se demander « Comment se rendre là-bas? C'est tellement loin! ». Mais, j'ai une solution à ce problème. Je garde ceci un secret, mais j'ai l'habileté de me transformer en demi dragon et ceci me confer des ailes qui me permettent d'aller à des vitesses incroyables. Depuis mon arrivée à Calimnei, je fais de mon mieux pour garder cette habileté secrète. Mon maître m'avait donné des explications strictes sur l'usage de mon don. Cependant, il m'a aussi expliqué que je ne devais pas rejeter, qui j'étais et que j'avais le droit de me transformer, tant et aussi longtemps que je respecte les règles qui m'ont été données. En d'autres mots, si je ne me fais pas repérer par qui que ce soit quand je me transforme, je ne suis pas dans le rouge!

Je m'éloignai de l'école pour ne pas me faire repérer. Seulement pour être sûr, je me suis cache parmi quelques arbres qui entouraient les lieux. Je scrutais les alentours une fois de plus pour être sûr de mon coup et je me suis transformé. Des écailles sombres apparurent sur ma peau, des cornes poussèrent de mon front pour aboutir à l'arrière de ma tête et des ailles noirs sorti de mon dos. Ça fessait longtemps depuis la dernière fois que je m'étais métamorphosé sous cette forme. Je débordais d'énergie et je me sens revivre! Retenir cette forme consume un lot relativement élever de Ki, cependant je n'ai pas besoin de m'exercer trop en cette forme pour l'instant, alors je serais capable de maintenir mon pouvoir de draconide relativement longtemps, car volé ne requière pas autant de Ki.

Je déployas mes ailes pour ensuite prendre mon envole comme une fusé. Il me prit peut-être une ou deux heures pour me rendre à la montagne, le climat était un peu plus intense que de où je venais, cependant ceci ne m'empêcherais pas de m'exercer. La transformation m'avait quand même bien essouffler, alors je me suis réfugié dans une grotte pour reprendre de mes forces. Après un bon repos, j'ai commencé une série d'entraînement qui consistait essentiellement à enchaîner rapidement des suites de combinaisons sans arrêter dû au froid et de la méditation. L'air glacial de ces montagnes me rappelait une douce nostalgie des montagnes Daodejing.

L'aube avait apparut dans le ciel. J'ai décidé de prendre ça comme signale que j'en avais asse fait et qu'il était temps de retourner à l'école. Je me retransformas dans ma forme écailler et je fis mon chemin vers le sommet. Je n'avais pas la moindre idée de quels côtés aller, alors j'ai présumé que prendre un point de vue élever m'aiderait peut-être. Je pus confirmé ma théorie relativement aisément, j'ai été capable de confirmer la direction de l'établissement Calimnei, mais par pure curiosité j'ai décidé de scruter les horizons, car avec mes habiletés de dragon, mes sens étaient augmentés, alors j'étais capable de voir extrêmement loin. Je scrutais les horizons à la recherche de choses intéressantes pour finalement me retrouver devant un océan de sable.

*Ceci dois être ce qu’on appelle un désert…?*

J'en avais entendu parler, mais jamais visiter ni vu un en vrai. Un lieu extrêmement chaud et aride qui est capable de tester les limites de l'homme sous d'horrible condition. Habituellement une personne voudrait éviter un tel lieu, mais moi... Il me fallait y aller. C'est une de ces chances uniques qui n'arrivent pas tous les jours. Sans perdre du temps j'ai plongé dans le vide du sommet apique de la montagne, j'ai ensuite déployé mes ailes durant ma descente et je prie mon envole tel un aigle en chasse. Ce n'était pas vraiment loin de la montagne, alors la route n'était pas longue.

Une des premières particularités du désert que j'avais remarqué... Il ne fessait pas si chaud que ça, il fait agréablement chaud à mon avis. Les lieux étaient évidemment brûlent, mais je ne sens rien d'extrême. Serais ce dû aux faites que je n'étais pas humain? Maître m'avait expliqué que les dragons étaient des créatures qui pouvaient utiliser le feu... J'aurais aussi hérité de ceci? Je suis tout de même désappointé par la situation, j'aurais voulu faire face à un défi, cependant ceci est ma première fois dans un milieu aussi chaud, alors je n'étais pas au courant de ce point... Cependant, ce n'est pas une perte totale. Je remarquai que le sable limitait mes mouvements et qu'il me demandait un certain effort pour effectuer des mouvements. Ça sera une bonne idée de me rappelle de ceci, je pourrais tout le temps revenir pour m'entraîner mes jambes quand bon me semblera.

J'allais prendre à nouveau mon envole, mais j'ai remarqué, situer pas trop loin, une oasis. Je pourrais prendre cette opportunité pour manger quelque vivre et profiter du climat pendant que j'étais encore en ces lieux. Je me rapprochai de cet endroit pour finalement être émerveillé par une splendeur rare. Une sorte de trou d'eau fraîche et claire aussi large qu'une grande rivière avec des palmiers comme modeste décoration, un véritable petit coin de paradis. Je m'installai proche de l'eau pour me réhydrater et je déposai mon sac d'expédition pour en sortir des provisions, quand soudainement je remarquai quelque chose d'étrange du côté opposé de l'oasis. De ce que je pouvais en observer, on dirait une personne couchée à terre sur le sable... Étrange. Dans un lieu aussi loin de toute civilisation, il était très perturbant de trouver quelqu'un, mais il faut l'admettre que je suis moi-même dans de tels lieux. Par curiosité j'ai décidé d'aller voir moi-même qui était cette personne inconnue. Au cas où il/elle aurait besoin de mon aide.

Rendu à moitié chemin je décide de voir s'il serait possible de communiquer avec l'inconnu...

‘’HO HÉ! TOUT VA BIEN?’’ Je cris d’une voix forte pour alerter l’inconnu de ma présence.

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Je me sentais comme un lézard en ce moment. Comme un petit lézard étendu sur le sable dans le calme le plus plat. En parlant de reptile, je devrais peut-être m’en faire tatouer un sur le corps un jour, dans le bas du dos, ou peut-être sur la cheville, sinon il y aurait la nuque. Bref, il y a tant d’endroits possibles que j’allais certainement y penser encore bien longtemps! Car il faut réfléchir à tous les détails, tel que si je porte une robe chic, le tatouage ira gâcher celle-ci, dans la nuque au moins mes cheveux pourraient le cacher dans ces conditions. Mais bon, le gros problème est les aiguilles utilisées pour faire le tatouage, cela serait la plus grande épreuve à passer dans mon cas, le plus grand pas à faire.

Je ne dirais pas que j’en ai une phobie extrême, car je peux surmonter ma peur de temps à autre, toute dépendamment de la situation bien sure, mais c’est clair que j’en ai presque tous les symptômes. Conscience de sa difficulté, ce qui veut dire avoir conscience du problème en cherchant tout de même à l’éviter même en sachant que la peur est déraisonnable. Peur excessive, ce qui veut dire éviter la situation ou la vivre avec angoisse, variant d’un sentiment d’insécurité à de la terreur. Bon, je n’ai que 2 des symptômes sur 6, mais c’est quand même le 1/3! Avec mûre réflexion, j’ai 50% de symptôme, j’avais presque oublié l’un des plus importants, l’hyperactivité neurovégétative! Je ne souhaite à personne d’être atteint de ceci! En situation de crise cela affecte physiquement la victime en leur donnant le souffle court, des transpirations, des palpitations cardiaques, des étourdissements, bouffés de chaleur et encore la j’en oublie quelque un!

Comment je savais tout sa? Disons simplement que je me suis informée auprès d’un médecin. Et bon, j’aime bien lire des livres sur la psychologie, bien qu’il y est un TAT de maladie encore inconnue ou qui n’a aucun nom, c’est bien de rester à jour sur les diagnostics de santé mentale.

Alors que je me parlais dans ma tête pour passer le temps, car m’endormir serait un désastre sous ce soleil, j’entendis une voix. Malgré la distance d’où le son était venu, je l’avais entendu très clairement. J’avais dû halluciner! Qui mise à part un véritable idiot viendrait dans ce désert ou la déshydratation nous guette de ci prêt? D’accord mauvaise question… Qui mise à part moi bien sûr viendrait dans ce désert serait mieux! Vue sous cet angle, je ne bougeais pas d’un poil et retournais penser de tout et n’importe quoi avec nul autre que moi-même.

Cela vous est déjà certainement arrivé, avoir le pressentiment d’être observé… Et bien j’en étais atteinte depuis un petit deux minutes, ne me décidant tout de même pas à relever la tête pour regarder s’il y avait bel et bien quelqu’un. Car les chances que deux personnes se rencontrent dans le désert était déjà très minces du à sa superficie impressionnante. Le fait d’être dans une oasis augmentait peut-être les chances de 10%, mais rien de plus… À pourquoi ne pas jeter un petit coup d’œil!

Je relevais lentement la tête et le haut de mon corps en m’appuyant sur mes avant-bras avant de voir au loin un jeune homme… Merde… Surtout que mon ‘’au loin’’ n’était qu’à quelques minutes de marche de moi. J’ai donc grogné quelque chose d’incompréhensible avant de me relever sur mes deux pieds, constatant mon teint par la même occasion qui était plutôt réussi! En parlant de ça, je suis encore en sous-vêtement… Dommage… J’aurais aimé le rester! Je me suis alors habillée tout de même rapidement pour éviter une certaine gêne à l’inconnu qui m’approchait.

Bon, au niveau des jambes avec mes mini short cela ne changeait pas grand-chose, mis à part que l’on ne voyait plus un grain de peau après la mi-cuisse. Sinon pour mon chandail en dessous de ma veste, je ne l’avais pas remontré jusqu’au cou comme d’habitude, j’avais arrêté de le refermer au niveau de la poitrine, offrant un léger décolleté, mais c’était déjà beaucoup moins pire qu’en brassière non? Toutes mes armes étaient en place, mon petit sac était accroché à ma cuisse, bref, j’avais complété un temps record pour m’habiller!

Lorsqu’il ne fut qu’à quelques mètres de moi, je lui est alors fait un sourire très doux, ne connaissant pas son identité je préférais commencer par une belle discussion bien calmement. J’ai alors mis mes deux mains derrière ma tête puis j’ai alors dit d’une voix enjouée,

-Salut! Pardonne-moi de ne pas t’avoir répondu un peu plus tôt, je voulais m’habiller avant ton arrivée! Disons que je ne m’attendais du tout à voir quelqu’un ici vu la chaleur étouffante et les rares oasis à portée de main pour se rafraîchir.

Je lui souriais et attendais une réponse, mais j’étais pensive et le regardais de haut en bas. L’oasis où nous étions était tout de même loin de toute civilisation et je voyais mal comment ce jeune homme avait réussi à marcher aussi longtemps sans avoir au minimum un peu de sueur sur le front! Moi-même qui est une brute de la forme physique j’ai sué un bon coup, quoi que je courais à 40 km/h… Mais j’ai tout de même vu des points noirs à un certain point. Alors que lui, n’ayant rien pour couvrir sa tête du soleil, n’avait que bu un peu d’eau voyant son chandail un peu mouillé en dessous du menton, semblait comme neuf, comme s’il revenait d’une marche de santé… Bizarre, je n’avais que cela à dire.