repos dans la nuit éternelle

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Une journée d'enfer pour moi m'avais completement épuissée.

3 cours ainsi que plusieur incident d'utilisation magique de la part d'un de mes élève qui avais libéré d'un des trois élémentaires de vent. Un cauchemard quand on pensse que ces petites créature sont prisonnières.

J'était sortit sur les toits pendant la nuit penssant un peu a Roxanne et a sa transformation ... Elle avais fusionné pas erreur avec un démon ...

Elle était encore plus belle qu'avant. Sa grace était sans égale et sa beauté digne des plus grand ange de la terre. Mais pourtant Elle était plus démonique que angélique. Mais sa bonté nous fesait oublier les démons qui l'abitait.

Je me trouvais en ce moment sur le toit de l'école je regardait la plage au loin, si magnifique et mystique vue de haut comme sa avec le doux reflet de la lune astral sur sa surface délicieuse et brillante.

Mon regard ce perdait dans l'étendu éphémère des vagues qui venait mourir dans un soupire bruiyant sur le sable devenu froid dans la douce nuit qui venait refroidir tête et corp des gens qui savais l'aimer.

Je pouvais voir 2 ange dans le ciel. Lucy m'en avais parler une fois de toute les créature allier a notre école. J'était content d'aprendre que des être supérieur tenais a la sauvegarde du bien que représentait la puissance de cette école.

J'était en ce moment en vêtement léger. Un pantalon court fabriquer dans un matériels doux et mince très confortable et léger qui laissait passer le vent frais et exsquis de la nuit. Je portait ma tuque habituelle puisque j'en avais toujours une et mon torse était nue et mes yeux brillait au doux reflet argenté de la nuit.

Invité

La vie est sérieusement compliquée. Déjà d’être difficile à la base n’était pas suffisant, il a fallut que j’aille me fusionner avec un démon. Compliquant encore plus les choses! Lorsque je suis arrivé à l’école, sous ma nouvelle forme, le monde, enfin tout le personnel ne m’ont pas réellement reconnue. Je du TOUT leur expliquer, de A à Z, durant des heures et des heures, même leur montrer le souvenir de comment cela c’est produit pour en persuader plusieurs. Ensuite j’ai du parler aux élèves, mais avant même de parler au personnel, la chose la plus difficile à faire avait été de me guérir, de m’habiller et de me laver avec le peu d’énergie qu’il me restait, je ne vous parle pas du temps que cela ma prit. J’ai pu refermer les blessures de façon mineur, c'est-à-dire de faire arrêter le sang de couler, ensuite je me suis laver, je me suis habiller et j’ai du aller voir l’infirmière. La convaincre avait été un calvaire! Un véritable enfer! Mais lui montrant ce qui s’était passé par ma mémoire l’avait convaincue, donc elle m’avait finalement soigné et redonné un peu d’énergie, assez pour que je puisse aller m’expliquer avec toute l’école avant de prendre mon envol vers le pays des rêves.

Ce petit conflit étant réglé, je dus me mettre légèrement au travail, c'est-à-dire m’assurer que les cours étaient bien commencé, que la défense de l’école était toujours aussi solide, bref, que tout était bien en ordre. J’en ai même profité pour aller récupérer de l’énergie au soleil. Car une nuit ne m’avait pas suffit à récupérer complètement de mon combat, donc c’est le soleil qui me redonna toute l’énergie qui me manquait. Alors que je me faisais tranquillement grillé, je pensais à Sylph et à Gabriel. Ces deux magnifiques jeunes hommes. Tous les deux sont charmants, gentil, intelligent et beau comme des dieux. Gabriel était à mon service, il était en quelque sorte mon garde du corps personnel, donc l’avoir comme directeur-adjoint ne serait pas une bonne chose, puisque son travail est de me protéger. J’ai besoin d’un bras droit qui pourra surveiller l’école en mon absence, quelqu’un qui sera présent pour me remplacer si un jour je tombe. Sylph semblait parfait pour ce rôle. En plus, il fut le premier à croire mon histoire! Pas comme les autres qui ne me croyais pas que j’avais fusionné avec un démon. Ou comme certain, il ne m’avait pas porté un regard méprisant. Un regard qui montrait leurs pensées, comme la jardinière, qui me considère comme une véritable dévergondé et une femme irresponsable et sans tête. Non, le sien avait été chaleureux, comme si il comprenait un peu que nous pouvons tous faire des erreurs. Et lui au moins n’avait pas peur de moi. Je reviens à la jardinière, elle à une peur bleu de moi, supposément parce que j’étais déjà à moitié démon auparavant et maintenant je le suis au ¾, selon certain. Mais devrais-je leur rappeler qu’un démon ne fait pas forcément le mal, il est vrai qu’ils sont plus souvent poussé vers la cruauté, mais n’en sont pas pour autant méchant. Si je serais méchante, je serais allé vers le chaos depuis longtemps! Ce que je n’ai pas fait, puisque que j’ai un caractère très variable et je suis pour le bien, non pour la destruction. Tant que l’on ne me fâche pas, j’ai un caractère d’ange. Les seuls moments ou l’on peut distinguer mon caractère et mon côté démon doivent être en combat ou lorsque je suis prise par des sentiments négatif, sinon, je suis une ange aux oreilles cornus! Sylph lui, m’avait regardé d’un regard doux ce qui m’avait grandement touché.

Il faisait noir, j’avais quitté le toit pour aller me nourrir un peu. J’avais mangé un gros soupé, puis je m’étais mise à une tâche que je devais faire depuis un moment déjà, retirer ce bracelet de mon poignet. Quelques formules, certaine plus puissante que d’autre suffirent à le faire lâcher, ensuite je le déposais dans une petite boîte que je mettais dans mon garde robe avant de retourner sur le toit, car j’adore regarder la lune au-dessus de l’eau, c’est un spectacle qui me fait oublier tout mes soucis. Pour accéder au toit il faut voler, car aucune fenêtre n’y donne accès, donc je pourrais dire que je suis la seules à y aller, c’est mon petit coin à moi, ou j’aime bien m’isoler quelques fois. Je sortis de l’école, prit ma vrai forme, sortant mes ailes et faisant briller mes yeux bleu dans les ténèbres de la nuit. Je m’envolai lentement, profitant du mouvement de mes cheveux doré dans le vent, j’adore cela, j’adore voler, j’adore prendre cette forme, je me sens libre dans ces temps-ci. Car c’est ma vrai forme, c’est moi, pas une enveloppe corporel que j’utilise pour passer dans la masse. Les seules personnes qui l’avait vue étaient le mage noir, Elinia, Nyam et mon ancien directeur adjoint. Ce n’est pas une forme que j’emploie régulièrement, du à l’aura qu’elle dégage. Je la cachais aux autres, mais plus en particulier à Sylph et à Gabriel, je ne voudrais pas qu’il me voit ainsi. Que penserait-il de moi? Une directrice à moitié démone, une fille qui dégage une aura de peur et de bien être à la fois, une fille bipolaire quoi! C’est à ce moment précis que j’atterris sur le toit.

Je tombais nez à nez avec Sylph. Mais lorsque je dis nez à nez, c’est nez à nez! Au sens propre! Disons qu’en atterrissant j’avais plus regardé la plage et non ou mes pied allait atterrir, j’aurais peut-être du! J’étais à à peine 1mètre du bar du toit, mon joue était devenu un peu rouge et je le regardais un instant sans voix et avec un visage très surpris. Me reprenant finalement, je lui dis tout en reculant d’un pas,

-S-Sylph! Mais quelle bonne surprise… Que fais-tu sur le toit à cette heure ci voyons il est tard!

Après avoir reculé d’un pas, je sentais derrière moi le vide, donc j’y jetais un petit coup d’œil avant de me retourner vers mon beau professeur. Je le contemplai de haut en bas et rougis lorsque mes yeux rayonnant dans le noir purent atteindre son torse nue. Vous voulez me dire pourquoi il me fait de l’effet?! N’importe quel homme aussi sexy que lui n’aurait pas réussis à me faire rougir, mais lui! Non, il faut que je fige et que j’oublie toute mes notions de charmes!

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Eau magnifique eau ta surface brille au gré de la lune qui se terre au loin dans notre mgnifique espace éttoilé d'ou brille les plus belle lumière de ce monde. Ta beauté t'honore chère élément que la nature nous donne en tel abondance que tu est la vénération et l'admiration des plus jeune ansi que les plus vieux. La vie a besoin de toi et de ta source de réconfort, tu représente la détente et l'obligation, puisque la tienne et de garder la vie dans ce monde.

J'était perdu dans mes penssés e nfixant l'eau de la plage argenter qui se trouvais devant moi. La douce brise de vent frais me fesait un bien fou après la journée charger que j'avais eu. Mes cheveux qui dépassait de ma tuque balotait doucement dans le vent. Je fermit les yeux quelque seconde quand j'entendit un batement d'aile étrange. Pas un froisement de plume dans l'air, mais plutôt une membrane et aussi des plume.

J'ouvrit doucement les yeux au moment ou mon ange magnifique se posa nez a nez devant moi. Elle avais été distrête par le même spectacle que moi je croit car son regard était posé sur la plage avant sont attérissage en beauté. Je la regarda dans les yeux de mes yeux bleu de la mer au reflet doux et argenté que la lune lui atribuait. Je regardait les sien qui brillait d'un bleu envoûtant et magnifique. Étrangement je remarqua que cette brillance s'agencais bien avec la couleur rouge que ses joues venait de prendre tout d'un coup. Ma remarque me fit rire intérieurement.

Je la regarda d'un regard doux et d'un sourire charmeur mêler a de l'amusement. Quand je la vit faire un pas vers l'arrière après avoir prononcé ses paroles je la saisi rapidement avec une précision et une agilité parfaite a la taille et dans le dos juste sous l'aile et l'attira doucement contre moi avant de faire un tour sur moi même avec elle dans mes bras de facon a ce que je soit moi dos a la plage et elle face a moi. Je la regarda avec un regard gentil et completement charmeur puisque ceci est mon air naturelle et lui dit:

- Ce que je fait ici ma chère directrice ? et bien je croit que 1h30 du matin ce n'est pas bien tard, mais en effet ma journer fût dur alors j'ai décider de venir me reposer un peu sur le toit de notre école pour admirer les magnifique tableaux et paysage que la nuit a à nous ofrir. Je doit dire que ... je ne m'attendait pas a vous voir décendre du ciel comme cela malgrés que vous êtes un ange, et malgrés vos ailes.

Je la regarda du bleu de la mer completement pur puisque j'était maintenant dos a la lune. Je tendis la main vers ses cheveux et replaca une mèche qui c'était déplacer pendant son vol et lui dit d'une voix douce et tendre:

- Et vous ma chère que venez vous faire sur le toit de ce lieux de bonté.

Je regarda doucement sont aile de démon qui malgrés ce qu'on pouvais en pensser était d'une beauté étrange. Ce n'est pas parce qu'une chose est relié au mal qu'elle est forcément laide.

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Alors que je reculais, mon prince charmant me rattrapa, enfin, me ramena vers lui, de ses deux bras puissants et rassurants. Nous fîmes un tour, comme une valse, collé l’un sur l’autre, ressentant le mouvement de respiration de chacun, de par le mouvement de notre poitrine. Jusqu’à ce qu’il soit à ma place initiale et moi à la sienne, je faisais maintenant face au spectacle que la nuit nous offrait sur l’océan et Sylph y faisait maintenant dos pour prendre possession de mon regard. Pour prendre possession de mon âme. Je l’écoutais s’exprimer, et c’était pour moi comme un chant mélodieux, un chant que l’on ne se lasse pas d’écouter à répétition des centaines de fois. Un chant doux, passionné, remplit de romance. Le genre de mélodie que toutes jeunes filles à déjà écouté dans son enfance en jouant avec ses poupées. Ou elles rêvaient à leur prince charmant, qui sur un grand cheval blanc viendrait les chercher de loin pour les marier devant un soleil couchant sur une plage ou dans une église pour les plus culturelle. Quoi qu’il en soit, chaque fille entendait le même chant durant leur cérémonie, celui qui les avait fait rêver toute leur vie. Pour le moment, mon chant était celui de sa voix, car je n’ai jamais réellement cru au conte de fée comme je viens de raconter. Mais pour une fois, je serais prête à y croire, quoi que n’importe quelles femmes doivent se dire la même chose en compagnie de cet homme charmant et séduisant. Donc je suis un peu stupide de croire que cela pourrait fonctionner comme dans un conte un de fée.

J’étais déjà quelque peu rougeâtre, mais je le devins encore plus lorsqu’il me colla à lui, mais encore la, cela pouvait aller! Je gardais tout de même un teint qui se catégorisait dans celui des humains. Mais lorsqu’il me traita d’ange et ce malgré mon aile de démon, et que au comble il y porta un regard, un regard qui resta le même, j’étais au ange! Mon teint prenait maintenant celui d’une tomate, j’étais maintenant dans la catégorie des légumes, autant physiquement que mentalement, mon cerveau ne semblait plus fonctionner lorsqu’il était la! C’est comme si mes neurones surchauffaient, sautaient et ne savait plus comment penser ou même formuler un mot. Plutôt normal avec la chaleur qu’il fait ici! Suis-je la seule qui est si chaud? Je n’en suais pas, mais ouf, la température semblait s’être réchauffée d’un seul coup! J’étais tellement hypnotisé par ses yeux et ses paroles que j’eu peine à réaliser qu’il venait de me poser une question, à laquelle il fallait que je réponde. J’ouvrais un peu la bouche un moment, mais aucun son n’en sortit, je devais réellement avoir l’air stupide! Soit stupide, soit muette, mais ni l’un ni l’autre n’était bon! Quelque peu timide, ce qui n’était réellement pas dans mes habitudes, je baissai la tête un instant, me repris en main avant de lui dire d’une voix douce,

-Enfaite, je viens ici souvent, même lorsque j’étais élève moi-même je venais m’asseoir ici le soir. Comme tu a pu le remarquer, c’est un spectacle magnifique, qui a le don de nous faire oublier nos soucis ou même seulement nous enchanter. Voilà la raison principale, mais s’il vous plait, ne me vouvoyer pas, je n’ai pas 50 ans tout de même, lâchais-je en riant.

Je le regardais d’un regard doux, réconfortant, rassurant, que mes gènes d’ange me permettait d’exercer au naturelle. Je me sentais charmé, maladroite en sa présence, même timide, ce qui n’était point normal chez moi, mal alaise, je lui dis d’une voix amusé,

-Veux-tu me dire pourquoi je suis aussi maladroite en ta présence? Non mais c’est vrai! Tu es bien la première personne avec qui j’ai de la difficulté à discuté sans que je ne devienne un légume ou rouge comme une tomate?! Dis-je amusé par ma situation et découragé de moi-même.

Je me sentais mal d’un certain côté. J’étais la en train d’espérer, de rêver, alors que lui, il venait de perdre sa famille il y a à peine deux mois. Pas d’un accident de plus, mais dans d’horrible condition, et moi, comme une conne, j’espérais quelque chose de lui.

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Je fixais les yeux bleu réyonnant de Lucy l'ange gardienne de cette école, oui Gabriel représentait mieux se rôle j'imgine ,mais au diable Gabriel, la seul présence angélique existante sur cette terre était Lucy. Malheureusement dans un autre monde qui était autrefois le mien les pré.sence angélique importante était ma fille ... ma femme. Je doit dire que les dons des Ilumy's sont très utile. En a peine quelque semaine nous pouvons completement bannir une peine qui déchire le coeur et ce remmetre solidement sur nos deux pieds et nous permettre de passer a autre chose.

Pour les autre races je n'est jamais ou rarement vue de phénomène de renouvellement spirituelle aussi marquant. Cela ce passe par de véritable crise de larme de panique et d'isolement. Certain individu passe même proche de se retirer la vie afin d'oublier cette peine qui les trouble et les détourne du chemin de la joie.

Je fixait les yeux de mon ange et finalement je remarqua sa couleur rougeâtre. Un petit sourire amusé se déssina sur mes lèvres, je remarqua aussi que cette couleur de timidité devint de plus en plus prononcé avec le temp qui se calaculait en secondes. Je remarqua qu'elle semblais avoir chaud car elle m^me avec sa chaleur physqiue me réchauffait alors je modifia doucement la composition du vent qui vint plus en déscendant se qui le fit devenir légèrement plus froid. Afin de nous rafraîchir tout les deux. Je la vit ouvrir bêtement la bouche et le refermer un instant avant de ce reprendre doucement et dire d'une voix mélodieuse mais qui montrait bien la gène, sa raison de sa venu ici.

Je me suis enlever le vouvoyement de la tête car ici ce n'était pas important car dans mon village une femme était automatiquequment vouvoyer ... 3 ans 6 ans 18 ans 78 ans 135 ans 372 ans. Peu importe l'age les femmes était vouvoyer. Pour tout changement nous nous devons nous forme de vie intéligente et consciencieuse de s'adapter au situation psychique et spirituelle que la vie nous impose.

- Oui pardons Lucy c'est un habitude que je doit perdre. La vie sur ce monde est bien différente de mon ancienne vie.

Une coup de vent déplaca doucement mes cheveux retenu par ma tuque , de coter ainsi qu'unemèche de Lucy qui cacha son visage. Je porta ma main doucement a son visage et en éfleurant doucement son froont je replaca cette mèche derrière l'oreille de Lucy en éfleurant sous un petit contact discrèt l'oreille de Lucy.

- Je comprend comment tu te sens Lucy avec les année je me suis habituer, j'ai du sang de l'ancien grand guerrier Sylph dans les veines. Son charme était jusqu'a aujourd'hui sans égal. Malheureusement j'ai hérité de se dons.

Je la fixa dans les yeux de mes yeux clair comme un crystal pûr et colla Lucy doucement a moi en déposa déliquatement mon menton sur son épaule et me pencha un peu pour qu'elle puisse faire de même et lui chuchota a l'oreille :

- Je te comprend Lucy, Je lit l'émotion dans tes yeux lumineux de gène et d'amour. Tu te sens nerveuse,non sûr de toi car tu connais mon passer, mais ne t'inquiete pas pour moi Lucy les Ilumy's se remette vite d'une peine. Je suis déja passer outre mon ancienne amoureuse.

Tout mes mots lui était chuchotté a l'oreille déliquatement pendant que nos deux corp était coller. Je pouvais sentir le poul rapide de son coeur contre le mien qui était très calme malgrés ma situation émotive.

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Il a malheureusement hérédité du sang de ce grand guerrier au charme sans égal. Je n’appellerais point cela un malheur dans mon vocabulaire! Car bon, regarder le. Il a le corps digne d’un dieux, des cheveux aussi doré que de l’or, un regard perçant qui vous met en confiance tout de suite, un langage majestueux, un français soigné et des manières sans égal, et la j’en oublie! Voilà pourquoi je ne comprenais pas trop pourquoi il appelait cela une malédiction, des millier de personnes échangeraient facilement leur vie avec la sienne, mais il semblait plutôt prendre ce don comme un fardeau, soit cela était une preuve de sa sagesse, soit il était fou!

Il avait refroidi l’air, donc j’avais beaucoup moins chaud, certainement qu’avec la chaleur que mon corps dégageait il avait senti ma détresse de ce côté, il était sérieusement très délicat. Il replaça l’une de mes longues mèches de cheveux derrière mon oreille, puisque j’ai un toupette qui n’est pas assez long pour que mes oreilles le retiennent. Frôlant ainsi mon front, et ensuite mon oreille. Le simple fait que ses doigts aient frôlés ma peau, j’en avais ressenti un grand frisson. Non un frisson comme lorsque l’on met nos ongle sur un tableau, ou lorsque l’on replace les os de quelqu’un, plutôt le genre de frisson mystérieux qui fait en sorte que vous en voulez plus, toujours plus.

Il me colla plus à lui. Je ressentais le battement de son cœur, un peu plus rapide que d’habitude, mais tout de même calme. Comparé au mien, qui battait à la chamade, non parce que il devait pomper plus de sang pour mes muscles, plutôt parce que j’étais nerveuse, excité et gêné. Il déposa son menton sur mon épaule et rapprocha ses lèvres de mon oreille. Je sentais son souffle chaud sur mon oreille, tout près de moi. Je n’aurais qu’à tourner la tête pour pouvoir m’emparer de ses lèvres, mais il fallait que je résiste, je devais penser à sa femme et sa fille, à son ancienne vie, je ne pouvais penser de façon égoïste. Mais toutefois, lorsqu’il eu terminé de me chuchoter dans l’oreille, le battement de mon cœur augmenta encore un peu, il venait de m’ouvrir la porte. Comme si lui aussi voulait que je fonce. Je ne savais pas si j’étais amoureuse de lui ou tout simplement attiré physiquement à lui, mais je le voulais, comme si ma tête et mon cœur me disaient de m’aventurer sur ce terrain. Toutefois, pour être sur et certaine de ne pas faire une erreur, je lui est moi aussi murmurer dans l’oreille tout en mettant mon menton sur son épaule,

-Es-tu sur et certain de ce que tu dis? Je ne voudrais pas faire quelque chose qui pourrait te brusquer ou je ne veux pas que tu insinue cela juste pour mon propre plaisir.

Voyant qu’il ne réagissait pas, je le regardai dans les yeux, cela était une réponse assez directe pour me faire comprendre qu’il était bel et bien sérieux. J’avais des papillons dans le ventre, ces lèvres semblaient si douce, si bonne à goûter. Je retournai me cacher sur son épaule et lui murmura,

-Dans ce cas, pardonne moi si je vais t’offenser avec ma prochaine action…

Je reculai ma tête, et alors que son regard cristallin était dans le mien, je me suis rapproché de son visage jusqu’à ce ne soit plus qu’un petit centimètre qui nous sépare. Mes joues étaient beaucoup moins rouge, mon corps plus détendu et mon cœur beaucoup plus calme, mes talents de séductrice reprenait lentement le dessus, bien que j’étais toujours aussi maladroite. J’allai m’emparer de ses lèvres délicatement, dans un baiser délicat qui dura une trentaine de seconde, avec les deux jumeaux dans le ciel comme témoin. Le baiser fait, je passais une main tendrement sur le côté de son visage, pour le rapprocher de mes lèvres une autre fois, mais celui-ci fut simple et rapide. Je passai mes mains autour de sa taille, normal puisqu’il est plus grand que moi, puis alla coucher ma tête sur son torse bien gonflé, juste en dessous de sa tête. Comme dernière action, je rentrais mes ailes, reprenant ma forme humaine. Ensuite? J’attendais sa réaction, avec une impatience folle. C’était le moment décisif, sa réaction allait décider du reste de notre relation.

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Je restait immobile contre elle. sa présence me fesait du bien, il faut dire que apart elle je restait solitaire dans cette école qui m'avais receuillit. Il faut dire que les gens ici ce lasse de parler avec tout le monde et ils sont tous ancré dans leur routine ennuyeuse. Cette vie, je commencais a mit faire. Me lever chaque matin de bonne heure, chaasser un bon petit déjeuner, un peu d'entrainement, je donnais mon cours, je sortait souper et je finnissait cette magnifique journée sur le toit ou dans mon lit.

Qui avais t'il de plus a faire ici dans ce monde mort et ancré dans le sentiments de guerre ? ÀTout le monde voulait grandir en puissance et monter dans les échelons pour atteindre la force qui se frusterons d'aprendre qu'elle est ce qu'il peuvent faire de mieux.

Je l'entendit chuchoté a mon oreille. Elle me demandais si j'était sûr de mes paroles. Non bien sûr car j'amais un Ilumy's ne doute pas. Mais apart pour ma chère fille que j'ai tuer moi même ... mon deuil était completer. Je ne pouvais changer le passer alors aussi bien ce construire un futur merveuilleux au près d'un ange aussi magnifique que Lucy.

Je la vie me regarder dans les yeux et je lui servit un regard doux et rassurant qui montrait bien que j'était serieux. Elle retourna se nicher dans mon cou et me demanda pardon en avance si elle m'offensait. Va petie ange, peut importe tes action mon coeur te pardonnera, peut importe si je doit mourir pour ton bonheur alors je mourait. La flamme qui m'habite ne brûlera que si ton amour est présent pour l'alimenter. Je ne peut vivre en sachant que tu ne m'aime point ou en sachant que tu me déteste.

C'est a ce moment que mes lèvres furent enlever a mon contrôle par la puissance divine des siennes. Je me laissait doucement embrasser par les lèvres douce de ma secouriste. Le bouche-à-bouche ? ne vous m'éprenez pas ceci est bien de l'amour. Elle est la secouriste de mon coeur car celui-ci sombrait dansle néant de la solitude et de la peine. Maintenant, elle la sauvé de la noyade en me jetant une boué que j'ai saisi de plein gré.

Ces douce lèvres était comme la douce caresse du vent contre ma peau. La douceur du satin ou de la soie n'était point comparable a la sensation exquise que m'odrait ce doux contact qui me fesait gouttez au paradis en quelque seconde.

Je me sentait charmé, je ne pouvais plus rien faire apart me soumettre doucement a la douce attaque de ma belle.

La baisé se finit doucement au bout de 30 secondes qui me montra les profondeur du sentiment que signifiait le mots passion et le mot amour. Suite a ce merveuilleux moment paradisiaque, je sentit la douceur de ses doigts contre ma peau. La douceur était merveilleuse. N'y avais t'il donc pas de défault a cette femme ? Le toucher de ses doigt me donna un frisson exquis le long de ma colonne vertébrale. Mon regard fût doucement entrainer dans le sien et elle m'embrassa de nouveau. Beaucoup plus court que le premier baisé, mais tout aussi plaisant.

Elle se colla contre mon torse nu et m'entoura la taille avec douceur. Je la sépara avec tendresse de mon corp et la fixa dans les yeux de mon regard doux presque fondant. Mes yeux bleu océan donnais l'impression que j'était qu'un être iréel et passif, mais malgrés les rêveries des jeunes femmes j'était bien réel. Je regarda doucement Lucy qui prenait forme humaine et lui dit:

- Voici la réponse a votre intérogation silencieuse mademoiselle. Je croit que mes lèvres vous répondrons tout aussi bien que ma voix pourra le faire.

C'est juste quelque secondes après que je prit doucement son corp dans mes bras et l'embrassa passionement sur les lèvres, sans brusquerie, avec toute la tendresse que mon être pouvais émettre. Cela dura environ 20 secondes avant que je retire doucement mes lèvres des siennes pour contempler son regard azuré. La beauté de ses yeux m'était fatale car je mit perdait tout entier comme hypnotisé.

Je la regarda doucement et la colla a mon corp musclé pour déposé doucement ma tête sur le coter de la sienne et je chuchotta doucement a son oreilles:

- Je ne vit que pour toi mon ange. Peut importe les erreur et les maladresse que tu commetra, je serait la pour te soutenir et t'aider a les réparé. Je serait la pour vous aider et pour vous aimer aussi longtemp que ma vie me le permetera. Voila la réponse que j'ai a donner ma chère.

Je la tenais tendrement dans mes bras comme si je lui laissa le choix de partir maintenant et jamais me revoir ou rester a mes coter pour l'éternité. Certain dirons qu'une éternité c'est long, moi je dit qu'une éternité pour vivre avec la personne qu'on aime ce n'est point assez.

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